Ajouté le 10 mai 2009 Noir Désir Pierre Mikaïloff
Vu sur lepoint.fr : Publié le 17/04/2009 à 12:13 - Modifié le 17/04/2009 à 14:53 Le Point.fr Par Charlotte Pons Noir Désir, Bertrand Cantat - Un destin rock
C'est un livre qui parle d'un autre temps. Celui d'avant "la tragédie de Vilnius", où Noir Désir était un groupe exemplaire, intouchable, absent des rubriques people et qui pouvait se permettre d'interpeller Jean-Marie Messier - "camarade pdg" - lors des Victoires de la musique 2002, sans que l'on doute de leur intégrité. Mais après tout, est-elle aujourd'hui remise en question ? Ce n'était pas l'objet du procès de Bertrand Cantat. Ce n'est pas, non plus, celui du livre de Pierre Mikaïloff. Au contraire, l'auteur loue tout le long le refus du groupe de faire des concessions, son habileté à garder sa ligne de conduite au sein de la major qui les distribue. Paradoxal ? Le débat est sans fin mais c'était peut-être - c'est toujours - l'unique façon de durer. "Pourquoi ont-ils réussi et pourquoi sont-ils les seuls à être encore là aujourd'hui ?" Si l'auteur reconnaît qu'il y a pour Noir Désir "un avant et un après Vilnius", le temps dont il nous parle est surtout celui d'une époque sans la vitrine internet. Où les groupes n'avaient que la scène pour se faire connaître. Un temps où il fallait attendre que les médias décident de consacrer un numéro spécial à une région pour que les artistes "provinciaux" aient une résonance nationale. "Le reste de l'année, c'était cinq lignes dans un magazine, pas beaucoup plus." Un temps où les MySpace et autres My Major Compagny n'existaient pas. Mais un temps à la veille de la scène alternative, où le rock français bouillonnait, et où il y avait la radio libre. "Noir Désir est arrivé aux débuts des radios libres, qui diffusaient des morceaux autoproduits. Ça a été leur chance", analyse a posteriori Pierre Mikaïloff. Pourtant, cela ne suffit pas. Cela ne suffit par pour durer, cela s'entend. En témoigne le premier chapitre du livre, dans lequel l'auteur convoque l'ensemble du catalogue "pop" de Polygram - aujourd'hui Universal - et dont Pierre Mikaïloff faisait partie avec son groupe Les Désaxés. Elli Medeiros, Gérard Blanchard, Pijon, Gamine, Luna Parker, Kent, L'Affaire Louis Trio, Passion Fodder, Carte de Séjour... et Noir Désir. "[...] Parmi les groupes présents ce jour-là, seul Noir Désir est toujours en activité." Voilà donc l'ambition du livre. Non pas celle de savoir quelle est aujourd'hui l'actualité de Noir Désir, dans cet "après Vilnius", mais plutôt de comprendre le pourquoi de leur longévité. "Pourquoi ont-ils réussi et pourquoi sont-ils les seuls à être encore là aujourd'hui ?" interroge l'auteur. "En fait, ils fonctionnent à la manière de tous ces grands groupes anglais qui perdurent ; U2 par exemple. Un album tous les 5 ans, une tournée, puis de longues plages de séparation où chacun vaque à ses occupations.é Occupations qui n'ont rien d'une danseuse. Les fans purs et durs le savaient sans doute, le grand public le découvrira : chaque membre de Noir Désir a une vie artistique riche en dehors du quatuor. Noir Désir est une entité mais formée d'artistes distincts. Et c'est peut-être là la richesse de cette biographie, mettre en lumière ceux qui trop souvent disparaissent derrière le leader, ô combien charismatique. "Il n'y a rien de plus classique que de mettre le chanteur en avant", dénonçait Bertrand Cantat dans une interview à Rock & Folk en 1989. "[Alors qu'on] reste un groupe avant tout." Mais justement. Si Noir Désir ne se confond pas avec Cantat, cette volonté - nécessité - de rester "un groupe avant tout " est à double tranchant. Elle suppose que l'histoire du chanteur pourrait mettre en péril celle de l'entité. Le public en décidera. Pour l'heure, Noir Désir s'est "remis au travail". Osana, osana et en route pour la joie pensent les fans . Mais Pierre Mikaïloff ne dit rien de plus que ce que l'on sait déjà ; deux titres inédits ont circulé sur le Net - Gagnants/Perdants et une reprise du Temps des Cerises - et Noir Désir "s'est remis au travail". Dommage, on aurait aimé qu'il soit en mesure d'en révéler plus. Car c'est aujourd'hui plus que jamais que se pose, non pas la question de la longévité du groupe - "Noir Désir s'est remis au travail" -, mais celle de son succès. Noir Désir, Bertrand Cantat - Un destin rock, aux éditions Alphée. 21,90 euros
Vu sur http://www.laboiteasorties.com : noir-desir « Sous la lumière en plein/et dans l’ombre en silence/si tu cherches un abri/Inaccessible/Dis toi qu’il n’est pas loin et qu’on y/brille ». Ici ce n’est pas Cantat qui parle à Marcos, au Subcomandante, mais Pierre Mikaïloff, à Noir Désir. C’était dans un trans-Europe un matin de 1987. A l’époque Polygram - futur Universal -, organisait pour ses groupes français quelques virées belges histoire de “faire du promotionnel”. Dans le train, les artistes se mêlent joyeusement, et Les Desaxés, le groupe de Pierre Mikaïloff, sont parmi les premiers noceurs. Un peu plus loin, sur une banquette, 4 hommes ou plutôt non, 1 seul, un groupe, plus timide, plus réservé, en dehors (ou en deçà ?) de la mêlée. L’ex guitariste des Desaxés vient de croiser Noir Désir, ex Station Desir, ex Noirs Désirs et futur star… pas Lost du tout, seulement très concentré. De cette non-rencontre, il fera le point de départ de sa biographie ou, devrait-on dire, de son apologie… Et il reprend, depuis le début - la naissance de Bertrand en 1964 - la chronologie du groupe : le jeune bordelais est né d’ un père militaire (comme Jim Morrison) et, fait rare, socialiste ; et d’une mère qui consacre beaucoup de son temps au « social et à l’humanitaire ». Il écoute du rock (MC5), lit de la poésie (Baudelaire, Mallarmé, Rimbaud), écrit, et se sent aussi peu à l’aise dans son collège catholique que plus tard le groupe ne le sera sur un plateau de télé. Bref, Bertrand est déjà un poète maudit. Seul le regard d’un Serge Tayssot-Gay, futur guitariste de Noir Désir et, pour l’heure, ado fan de Status Quo aussi bon en maths que Bertrand en français, pourra le sauver. L’un fait les devoirs de l’autre et vice versa. Ainsi que l’explique Pierre Mikaïloff, tout commence puis perdure par une histoire de solidarité : appels citoyens à Toulon en terre FN en 1997, concerts au profit du Groupe d’Information et de Soutien aux Travailleurs Immigrés, (Gisti) ou apostrophe au grand « patron », le PDG de Vivendi Universal, Jean-Marie Messier le-dit « Homme pressé ». Pierre Mikaïloff s’attache à démontrer qu’à la différence de bien d’autres rockers, Noir Désir n’est pas à un groupe de gauche uniquement sur scène. Sans cesse nous dit-il, ND est seul contre tous : contre les majors - avec qu’il a tout de même signé - contre la presse - et notamment Libé qui n’avait pas hésité à décrier le groupe adolescent -, contre le ventre mou des artistes, etc… Pierre Mikaïloff n’est pas un écrivain (en dépit de ses nombreux bouquins), pas même journaliste (dont il utilise le travail comme matière à son livre) encore moins historien, mais musicien. Pour mieux encenser ses pairs, l’ex guitariste n’hésite pas à tout relativiser, quitte à tout mélanger. Replacer “l’affaire Vilnius” aux côtés des divers faits qui ont ensanglanté la scène rock (Phil Specor, Jerry Lee Lewis, Sid Vicious) relève sûrement de l’art de la contextualisation. En revanche, mettre sur le même plan le sang versé « aux champs d’honneur » par onze gosses écrasés lors d’un concert des Who, ou par le batteur des Dolls overdosé (Billy Murcia), à Dresde et Hiroschima s’apparente à un obscène mélange : « Dresde et Hirsoschima n’étaient-ils pas les premiers rock’n roll Show de l’ère morderne ? » (p 116) Ben tiens. Pierre Mikaïloff appelle cela du cynisme. Puis continue sans scrupule à touiller la grande soupe de l’Histoire : en mai 1990, Noir Désir part en voyage en URSS. Que ses fans se rassurent, ces musiciens très au fait de politique sont « moins naïf qu’un André Gide » et « moins cynique d’un André Breton ». Précisons qu’André Gide est décédé en 1951, à une époque où toute l’intelligentsia française avait les yeux rivés vers la grande Moscou. L’auteur, qui se voulait peut-être simplement drôle, ferait mieux d’éviter les incursions politiques et littéraires et de mettre en veille ses considérations sur le 11 Septembre pour ne s’en tenir au rock, rien qu’au rock, à l’histoire de la scène française des années 80 et 90, aux explications de textes de Cantat et à la description de son groupe qui, comme un accordéon, se serre et se desserre au rythme des tournées. Sur tous ces points, l’avocat est, à défaut d’être écrivain, bien plus convaincant. « Petite soeur de mes nuits/ça m’a manqué tout ça/quand tu sauvais la face/à bien d’autre que moi/sache que je n’oublie rien mais qu’on efface » dit-il sauf que pour l’heure, le petit frère, c’est lui. Les fans se passionneront sûrement sur cette histoire, les autres attendront sagement l’album… (et ceux qui avaient été scandalisés par les titres sortis en Novembre 2008 s’en tiendront là). Noir Desir, Bertrand Cantat, un destin rock, Pierre Mikaïloff, Editions Alphée, 372 p, 21,90 euros.
Vu sur fnac.com : Au-delà de la tragédie humaine qui restera désormais associée à son nom, « le perpétuel combat de Noir Désir contre la médiocrité et le conformisme », pour reprendre les mots du préfacier Jean Fauque, est loin de prendre fin. Aucune biographie n’avait, à ce jour, retracé l’itinéraire des « quatre garçons en colère » avec une telle exhaustivité et un tel souci de précision, des premières errances bordelaises au désormais très attendu prochain album. Pierre Mikaïloff : ex-guitariste des Désaxés, journaliste et auteur de six ouvrages (dont « Some clichés, une enquête sur la disparition du rock’n’roll », 2006, le « Dictionnaire raisonné du punk », Scali, 2007, et « Françoise Hardy – Tant de belles choses », Alphée, 2009), il était logique qu’il s’intéresse à ce « destin rock ».
Vu sur http://www.alapage.com :
Vu sur rue89.com : Avant un nouvel album, une bio de Noir Désir Le 17 avril va paraître une biographie complète du groupe Noir Désir. Intitulé « Noir Désir, Bertrand Cantat, Un destin rock », le livre est signé par Pierre Mikaïloff, guitariste du groupe Les Désaxés et journaliste rock, et préfacé par Jean Fauque, célèbre parolier de nombreux artistes -dont Alain Bashung. Il paraîtra aux Editions Alphée (du groupe Jean-Paul Bertrand, un temps propriétaire des Editions du Rocher). Après une carrière de musicien de rock et de scène, Pierre Mikaïloff s'est mis au livre en 2006 (« Some clichés, une enquête sur la disparition du rock'n »roll »). Il fut un des nouvellistes du salvateur recueil en hommage à Dominique Laboubée, défunt chanteur des Dogs (« I Wanna Win dans DOGS, Histoires pour Dominique »). Il a également publié, entre autres, un « Dictionnaire raisonné du punk » et une bio du groupe Taxi Girl (aux Editions Scali). En 2009, il prévoit de publier, outre la bio de Noir désir, une bio de Françoise Hardy. Dans son ouvrage, Pierre Mikaïloff retrace le parcours, depuis 1987, du groupe bordelais composé de Serge Teyssot Gay, Denis Barthe, Jean-Paul Roy, Bertrand Cantat et Frédéric Vidalenc (jusqu'en 1995). En six albums studio, un album de remixes et deux opus live, Noir Désir a représenté sur la scène musicale française l'énergie rock, le refus permanent du compromis, un art sidérant de la prophétie enragée, une grande poétique littéraire, ou encore l'engagement citoyen. Avant d'être rattrapé par la tragédie humaine quand, en août 2003, Bertrand Cantat provoque la mort de Marie Trintignant. Claque, dispute, crime passionnel. Point. Condamné à huit ans de détention, le chanteur bénéficie d'une liberté conditionnelle depuis octobre 2007. Un long chapitre, intitulé « Le feu de l'enfer », aborde l'épisode de Vilnius, tentant d'expliquer comment tout concourrait, cette nuit-là, à aboutir au drame. L'auteur s'autorise ici un parallèle avec les autres grandes affaires qui ont impliqué des personnalités du rock, telles que Phil Spector, Jerry Lee Lewis, Sid Vicious ou la compagne de Keith Richards, Anita Pallenberg… Noir Désir a créé la surprise en novembre dernier, et présenté deux nouveaux titres sur Internet, « Gagnants/ Perdants » et une reprise inédite du « Temps des cerises ». Ces deux morceaux étaient proposés gratuitement aux internautes sur le site NoirDez.com. Le groupe oeuvre désormais à la réalisation d'un nouvel album studio (la formation est toujours sous contrat avec sa maison de disques Barclay). Par ailleurs, Serge Teyssot-Gay développe depuis plusieurs années un ensemble de projets très excitants. On a ainsi pu le voir avec Khaled Al-Jaramani dans un mélange guitare électrique - oud syrien dépaysant. Dernièrement il s'est allié avec Marc Sens (Yann Tiersen) et Cyril Bilbeaud (Sloy) sur Zone Libre, un projet à trois guitaristes, dont l'album, « Faites vibrer la chair » est une belle réussite. Il a dernièrement participé à deux belles aventures poétiques rock. La première est littéraire : en 2006-2007, il mit en musique, dans de grands riifs électriques, des lectures par Denis Lavant de 22 poèmes de défunt poète hongrois Attila Jozsef. « A coeur pur » était un projet à l'initiative de la compagne de Bertrand Cantat, Kristina Rady. J'en parlais ici. La seconde est de rage : très récemment est sorti le disque « L'angle mort ». Neuf morceaux mêlant rap, rock, incantations, hommages à Confiant, Fanon, Rosa Parks. Neuf chansons signées ou accompagnées par le sus-cité projet « Zone Libre », mais aussi par la rappeuse Casey et par Hamé (de La Rumeur).
Vu sur http://www.lesquotidiennes.com : C.S. | 15-04-2009 | 10:40 Il s'agit de l'une des sorties éditoriales les plus attendues de ce mois. « Noir Désir, Bertrand Cantat, Un destin rock » devrait être dans les bacs dès la mi-avril. Rue 89 salue déjà l'ouvrage d'un spécialiste, musicien lui-même, et qui rend hommage à la veine créatrice du groupe bordelais, tout en omettant pas le drame de Vilinius.
Vu sur http://www.marianne2.fr : Noir désir, Bertrand Cantat : un destin rock, de Pierre Mikaïloff, éd. Alphée, 373 p., 21,90€ (Article publié dans Marianne n°627)
Vu sur metrofrance.com : Mis à jour 16-04-2009 18:07 Photo : Audrey Cerdan Pierre Mikaïloff journaliste et auteur de "Noir Désir, Bertrand Cantat, un destin Rock", une bio sur le célèbre groupe bordelais a dialogué avec les metronautes. Bonjour à tous Coralie : Bonjour, depuis quand vous intéressez-vous à ce groupe, et pourquoi ? Trachée : Pourquoi un livre sur Noir Désir... pour parler de Cantat parce que le drame fait vendre ? Rocki : Comment les avez-vous rencontré ? Gaétan : N'y a t'il pas le groupe d'un côté et Cantat de l'autre ? Bertrand Cantat ne fait pas dans le "Baby, come on..." Slim : Quelles sont leurs influences ? Yandia : Comment expliquez-vous le succès d'un groupe qui en a toujours fait le moins possible au niveau des médias ? Mano : Quel est l'album que vous préférez ? Pourquoi ? Tracy : Qui sont les idoles de Bertrand Cantat ? Pumpump : Pourquoi faites-vous sans arrêt le rapprochement avec les Doors ? Egregor : Je pense avoir lu tous les livres publiés à ce jour sur Noir Désir, je voudrais savoir en quoi le votre est différent des autres ? N'est ce pas un livre de plus ? Que peut-on y apprendre de nouveau ? Cantine : Que s'est il vraiment passé à Vilnius ? Punk : La mort de Marie Trintignant est due à la jalousie, c'est ce que vous semblez dire. Est-ce tout selon vous ? N'est ce pas un peu court ? Traché : D'ou vient leur nom ? Lul@ : Hello Pierre : comment réagit Bertrand à ton livre ? Yandia : Avez-vous rencontré des difficultés en abordant le drame de Vilnius et les années de prison de Bertrand Cantat ? Valdo : Pourquoi ce malaise avec la chanson "Aux sombres héros de l'amer"? Sombre : Cantat, poète maudit, vous souscrivez ? Johnny : A l'étranger, les Noir Désir sont-ils connus ? Dans quels pays ? ThisIsHardcore : Qui sont d'après vous les héritiers musicaux de Noir Désir aujourd'hui? Yandia : Au fil des années, le groupe semblait s'engager de plus en plus politiquement à travers leurs textes. Pour quelles raisons ? Gus : Bertrand Cantat connaît-il Serge Lama, qui lui a dédié une chanson dans son dernier album ? Blanc répugnance : D'où vient le morceau Tostaky ? Gratte33 : Comment expliquez-vous que le groupe perdure et n'éclate pas comme tous les autres ? Mancho : Y a t'il eu des suites après le discours contre Vivendi et Messier ? Egregor : Bon nombre de musiciens ont influencé Bertrand Cantat. Vous parliez des Doors et de Jeffrey Lee Pierce, on pourrait citer également David Eugene Edwards dont il est très proche. J'ai eu la chance de rencontrer Bertrand Cantat à 2 reprises et je sais que certains écrivains l'ont aussi beaucoup influencé dans son écriture et notamment des auteurs des pays de l'est comme Agota Kristof. Je rêverai d'un livre dans lequel il nous livrerait ses découvertes littéraires. En avez-vous parlé avec lui ? Y-a t-il dans votre livre quelque chose à ce sujet ? Yandia : Le côté visionnaire de Noir Désir (l'album "des visages des figures" avec "le grand incendie" qui sort le 11 septembre 2001 par exemple) ne renforce t'il pas la crédibilité et la force du groupe ? Coralie : Bonjour, est-il vrai qu'un album va sortir dans l'année ? Merci Fan : Ou trouver leur premier album "Ou veux tu que'je r'garde"? Yandia : Musicalement, que pensez-vous de leur dernier morceau "gagnant perdant" ainsi que de la reprise du "temps des cerises" ? Flib : Noir Désir pour vous c'est le seul vrai bon groupe rock français ? Fantinem : Après la disparition de Bashung, pensez-vous que Noir Désir et Bertrand Cantat reste, le seul artiste vraiment rock français ? Yandia : Aujourd'hui, comment voyez-vous l'avenir du groupe ? Fad : Ou peut on voir les "désaxés"? Merci à tous pour vos questions, à bientôt ! Noir désir, Bertrand Cantat. Un destin rock Pierre Mikaïloff, ed. Alphée, 359 p; 21,90€
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